C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
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C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Dim 8 Nov - 22:26
Mise en page non installé, y'a que du texte.
Chapitre 1: Venceslao Vittore.
78th, Idlewood.
Bar Italien, où traîne Venceslao Vittore.
Année 2014.
Bar Italien, où traîne Venceslao Vittore.
Année 2014.
(des éclats de rire se font entendre sur l'avenue entre la pizzeria et la station-essence d'Idlewood, dans un bar italien.)
Moi, c'est Chelsea.
J'avoisine la vingtaine, et je suis en étude supérieure, pas loin de l'hôpital All Saints.
J'ai toujours été chérie par mon père, sans doute le crétin qui est entrain d'hurler de rire dans le bar en face de moi. Même si j'arbore un petit sourire, je m'approche du bar, et a l'instant, je vois un jeune homme se faire jeter à coup de pompes par le gérant, Lucenzo, un très bon ami a mon père, et un de mes amis, faut le dire. M'enfin, revenons-en a notre histoire.
Je vois le jeune homme se faire expulser, puis je regarde Lucenzo en levant les deux sourcils, tout en souriant. Il commence à exploser de rire, et même moi, je n'ai pas pu me retenir. Il m'invite a l'intérieur de son bar, et il informe ma présence à mon père, qui est assis avec trois de ses amis, entrain de jouer au poker, comme d'habitude.
Mon père commence à rigoler, tout en m'adressant la parole. J'avance vers lui, m'asseyant alors a leur table.
A la table, des connaissances depuis que je suis toute petite. Ses trois amis d'enfance : Marco, Frank ainsi que Luciano me saluent, et me complimente comme toujours. A chaque fois que je passe dans ce bar, impossible d'en ressortir sans rougir avec les amis de mon père. Comme d'habitude, je rentre des cours, et je passe voir mon père habituellement dans le bar. Il me demande comment c'est passé ma journée, et il me raconte comment se porte mon petit ami. Impossible de passer par autre chose, c'est toujours sur mon petit ami que mon père parle exprès pour me taquiner devant ses copains.
De nombreuses réflexions par rapport à moi divaguent autour de la table. Marco et Frank me font toujours des compliments, tandis que Luciano se fait vieux et préfère jouer au cartes au-lieu de faire comme les deux autres. Lucenzo arrive, bière a la main, et me la met sur la table en face de moi. Il fixe mon père, et tout-deux, commencent a exploser de rire, parce-qu'ils savent que je ne bois pas et que j'ai toujours détesté ça. Je me tourne vers Lucenzo, et je commence à rigoler moi aussi. Il reprend la bière, qu'il dépose a Luciano, et il me pose à la place une bouteille en verre de coca classique, tout en me tapotant le haut du dos. « Si ton père te voit boire, je pense que tu finirais le restant de tes jours en internat », me disait-il, avec un rire assez prononcé. Il prendra alors un tabouret et viendra se mettre à la table, prétextant qu'il allait battre tout le monde au poker.
Parlons plutôt détails. Mon père est en face de moi. Il avoisine la quarantaine, avec un visage assez vieux tout de même. Pareil pour Luciano, mais tout deux gardent le rire facile depuis leur époque, et rigolent toujours aussi bien entre eux. Marco, plus jeune mais avoisinant presque la quarantaine, est aussi l'une des connaissances de mon père, et il est malheureusement le père de mon petit ami, voilà pourquoi ce sujet convoite tant la table. Et pour finir, Frank, avoisinant presque la quarantaine lui aussi, est un ancien ami de mon père, et d'ailleurs, sa fille est l'une de mes meilleures amies. Autant dire que je suis bien entourée dans cette table, avec en plus Lucenzo qui se joint à la table lui aussi. Mon père a entièrement financé le bar, mais ce n'est pas lui qui le dirige. Il a payé tout les frais pour Lucenzo, qui n'avait pas de travail, et vu qu'il aimait bien être derrière un comptoir et servir des clients, mon père a décidé de lui offrir se bar, argent dont je n'ai jamais vu la couleur. Mais bon, tant que Lucenzo est heureux dans son travail et que mon père est heureux pour l'investissement qu'il a fait a l'un de ses meilleurs amis, je suis contente moi aussi.
Les parties s'enchaînent, et je décide de jouer moi aussi. Je joue presque jamais, je ne connais même pas les règles, mais Marco me dit toujours quoi faire. Donc je me mets a jouer, et tout d'un coup, mon père se met a hurler. Il obtient un full, ensemble de cartes qu'il n'avait pas eu depuis longtemps. Autour de la table, ses amis sont étonnées, mais moi j'y comprends rien, alors je souris, tandis que mon père rigole d'un air joyeux. Il offre une tournée à toute la table, ce que Lucenzo ne manquera pas d'aussitôt a aller derrière le comptoir pour offrir une bière ainsi qu'une deuxième bouteille de coca classique pour moi. Après qu'il ai préparé les bières, Lucenzo remarque mon petit ami qui vient de rentrer dans le bar. Il m'appelle, et me demande de me retourner. Le malaise que j'ai pu avoir était inimaginable. Marco se retourne, voyant mon malaise, et il regarde son fils. Il commence a hurler de rire, ce que mon père ne manquera pas de suivre ainsi que Luciano et Frank. Mon petit ami, du nom de Quarto, se met à me regarder, prenant alors un tabouret tout en rejoignant la table. Il me demande ce que je fais ici, et je lui dis que je viens voir régulièrement mon père. Frank, étant assis à côté de Quarto, se met a taper de l'épaule tout en me regardant. Mon père continue de rigoler comme jamais, commençant a taper de sa main droite sur la table. Luciano commence à rigoler lentement, tout en me fixant. Quarto commence à comprendre, sachant qu'il ne sait pas que j'ai des sentiments pour lui. Il met sa main gauche sur mon dos, et il me demande si je suis malade. Je continue a fixer le sol, morte de honte, mais je relève la tête et je commence à rigoler. Quarto retrouve le sourire, puis Lucenzo viendra lui apporter une bouteille de coca classique.
Les heures passent, puis Lucenzo se met a fermer le bar. Mon père ne me raccompagne pas, il reste avec le gérant, mais il décide d'envoyer Luciano pour me raccompagner, ce que Luciano ne refusera pas. Nous nous dirigeons vers sa voiture, une magnifique voiture de sport d'ancienne époque, qu'il à toujours gardé. Nous rentrons dans la voiture, puis une musique des années quatre-vingt dix se met a se lancer. Je commence à rigoler, ce que Luciano remarque et sourira alors. Il baissera le son, tout en m'adressant la parole.
Luciano commence à prendre un air assez froid, sérieux, fixant alors la route tout en me ramenant chez moi. Il m'expliquera les activités de mon père en dehors de ses pauses au bar de Lucenzo. J'écoute lentement, puis je lui demande si il dis la vérité, sachant qu'il me racontait tout de même qu'il faisait des choses pas nettes. Il acquiesce en m'affirmant que mon père dirigeait de nombreux hommes, pour l’intérêt de ses amis, comme lui, Marco, Lucenzo ainsi que Frank pour ainsi mener une vie paisible avec de la joie et de la bonne humeur. J'entreprends alors une discussion avec Luciano. Il me raccompagne chez moi, je décide de l'inviter a la maison pour qu'il m'explique tout, ce qu'il accepta.
53th, Richman.
Résidence des Vittore.
Année 2014.
Résidence des Vittore.
Année 2014.
Nous prenons place sur le canapé, et il m'explique alors qu'il dirige un vaste réseau sur de nombreux petites villes, autour de Los Santos, comme Palomino Creek, qui est l'un de ses endroits favoris. Je lui demande alors si il comptait me le dire un jour, puis Luciano me réponds que mon père lui a demandé de me le dire. Je reste choquée, malgré la soirée qu'on a passé. Je pensais que mon père travaillait honnêtement, mais après que le mot banque, armes et drogues me sont passées dans les oreilles, je reste figée sur le canapé, tout en fixant Luciano. Il me demande de me lever, et il extirpe alors un 44. Magnum, arme réputée pour son efficacité. Il m'affirme qu'il n'a pas de permis pour porter cet engin, et que même avec un permis, cet arme est illégal du fait qu'il n'y a pas de numéro de série inscrit. Autrement dit, c'est une arme fantôme dans le milieu.
Je demande alors ce qu'il en fait avec, et il me réponds aussitôt qu'il n'utilise pas l'arme, mais qu'il l'a transporte. Luciano en effet est un avocat pour mon père. Il m'explique son travail, ainsi que son utilité pour mon père. Il se dirigera alors vers la salle à manger, poussant alors le frigo disposé à côté de l'évier et extirpe alors un Remington, célèbre fusil a pompe. Je n'en revenais pas. Je fixe le fusil a pompe, ainsi que Luciano, puis je reste assise sur le canapé. Mon père fait des choses illégales, pour faire ses fins de mois, puis je continue la discussion avec Luciano. Il range le fusil à pompe, et me dit que je n'ai encore rien vu. Sur Palomino Creek, plus d'un million de dollards est caché dans une de ses propriétés. Je mets mes mains devant mes yeux, et il continue a discuter, sans s'arrêter. Quelques minutes plus tard, il comprend que je commence a avoir une rancune contre mon père, et que je commence a ne plus le voir comme avant. Il décide d'arrêter de parler, et de s'en aller. Je ne dis pas un mot, et je le laisse repartir dans sa voiture. Après qu'il soit reparti, je vais chercher le fusil à pompe, et je le mets sous mon lit, attendant la venue de mon père. Je réfléchis, et me dis que cette histoire n'est qu'un mensonge. Je me fait des films dans ma tête, et je commence à m’en-mêler les pinceaux. Mon père est un trafiquant en tout genre ? Comment à son âge, il peux faire ce genre de trucs ? Je pensais que mon père faisait tout dans la légalité, qu'il travaillait, mais il m'a caché ce genre de travaux pendant des années. Je n'y crois pas, et impatiente, je commence à l'appeler. Il me dit qu'il arrive dans quelques minutes, je l'attends sur mon lit.
Voyant que la porte est ouverte, mon père se met a rentrer. Il monte dans ma chambre, et me vois avec le fusil à pompe dans les mains. Il marche à grands pas vers moi, et me le prends des mains, tout en me disant ce que je faisais avec. Je lui apprends alors que Luciano m'a montré l'arme, d'où elle venait, puis je lui demanda d'où venait l'argent qu'il faisait. Il me répondit alors que c'est grâce au loto, puis je lui raconte ce que Luciano m'a raconté. Il s'assoit sur mon lit lentement, me fixant alors dans les yeux. Je devais savoir ce qu'il se passe, puis il m'annonce qu'il dirige alors des hommes, narco-trafiquants, trafiquants d'armes, tout ce qui rapporte de l'argent. Il m'a annoncé qu'il fournissait la moitié de Los Santos, et qu'il ne comptait pas s'arrêter là. Il voulait me faire passer dans ce côté illégal, et me faire arrêter les études. Je refuse systématiquement ce qu'il essaye de me faire entendre, puis je lui demande de sortir de ma chambre pour que je puisse réfléchir. Mon père sort de ma chambre, fusil à pompe dans sa main droite, puis il me dit de réfléchir a cette proposition. Il me dit que c'est mon père, et qu'il veut que tout ce passe bien financièrement pour moi. Avant qu'il sorte de la chambre, je lui demande ce que je suis censé faire si je divague de son côté.
Il m'annoncera alors que je le remplacerais dans son travail, et que je devrais gérer la totalité de ses affaires, avec l'aide de Luciano, Marco et Frank, qui me conseilleront lors de mes démarches pour l'organisation Vittore.
53th, Richman.
Résidence des Vittore.
Année 2014.
Résidence des Vittore.
Année 2014.
Le lendemain.
Après une petite sieste et un moment de réflexion, je remarque que des vêtements de sport noir sont présents sur ma commode, a côté de mon lit. Je descends dans le salon, et je salue mon père. Il me dit d'aller habiller ce qui était sur la commode, ce que je fais sans discuter. Je remonte m'habiller, puis je le vois partir de la maison. Je le suis, et nous allons en direction de Palomino Creek, endroit ou mon père a de nombreux contacts concernant la création d'armes a feux.
24th, Palomino Creek.
Entrepôt, propriété de Venceslao Vittore.
Année 2014.
Mon père se gare près d'un entrepôt, et nous rentrons donc a l'intérieur. L'endroit est dirigé par Marco, l'ami de mon père, celui qu'on à vu au bar hier. Il me salue, et me demande si je ne suis pas trop brusqué par les nouvelles. Mon père répond positivement à ma place, et Marco me dirige vers la création d'armes de poings, situé au premier étage. Je fais connaissance avec Fabrizio, créateur d'armes à feux depuis de longues années pour mon père. Mon père m'explique alors qu'il est le meilleur dans le domaine des armes à feux dans l'entrepôt, et qu'il connaît les bases pour diriger une équipe. Marco me demande alors de jouer un rôle de chef, par rapport à Fabrizio. Désormais, c'est moi qui dirige la gestion des armes de poings dans l'entreprise, c'est-à-dire qu'il faudra passer par moi pour la commande d'armes légères. Il m'explique les bases pour tenir ce rôle qui a priori à l'air difficile, puis Luciano se met à rejoindre la discussion pour expliquer avec Marco comment diriger correctement dans cet entrepôt. Marco me fait la remarque rapide que c'est Luciano qui dirige la création d'armes lourdes, comme le Remington qui est chez mon père. J'écoute alors le moindre détail de ce qu'on me raconte, et je remarque alors que mon père me fixe d'un air froid, dans les yeux. Marco m'explique le lexique de l'entrepôt, les tarifs pour les armes à feu légères et la commande des armes lourdes via Luciano. Une fois les explications finis, mon père ainsi que Marco me laissent avec Fabrizio. Je le salue en souriant, puis il rétorque en comprenant que j'ai rien compris a ce qu'on m'a raconté. Fabrizio m'expliquera en une trentaine de minutes la fabrication des armes de poings basiques, très demandé par les gangmembers dans Los Santos. Il m'explique aussi l'organisation de mon père, l'extorsion des nombreux magasins dans Los Santos via des soldats qui s'en occupent, les conséquences pour ceux qui ne coopèrent pas, les braquages de banques des autres villes, ainsi que la passe pour la drogue. J'en apprends de plus en plus sur l'organisation de mon père, ce qui me permet d'avancer et pourquoi pas un jour prendre la place de mon père. Fabrizio me décrit Luciano, vu qu'il ne connait pas son prénom direct, et il m'informe que c'est le conseiller de mon père. Hiérarchiquement dans une famille, le conseiller est au même stade que le dirigeant, ou autrement dit " Parrain ". C'est une personne a qui on doit le respect, même venant de moi. Fabrizio est au courant que j'ai le même sang que mon père, mais ça ne change rien ici. Je dois grandir de la même façon que tout le monde, a commencer par les différentes activités qui sont pratiquées. Fabrizio m'explique encore une fois que mon père m'a redirigé ici pour la création d'armes à feux. Il aimerait que j'en ressorte experte dans la création pour faire de grands bénéfices sans avoir d'énormes risques en conséquences. Contrairement aux extorsions et aux braquages, je risque moins de me faire choper. Après la fin des explications, mon père m'appelle sur mon téléphone, et me demande de sortir. Il m'emmène a une maison situé à côté de l'entrepôt, et m'informe que c'est maintenant là que je réside et que je pourrais cacher des choses. Il m'informe que je dois me responsabiliser, et que je dois faire des bénéfices. Je me balade dans les rues de Palomino Creek, m'adaptant a l'environnement de la petite ville, puis mon père me rappelle. Il me re-donne rendez-vous devant ma nouvelle maison. Je raccroche le téléphone et me dirige vers chez moi, puis je monte dans la voiture de mon père, avec Luciano a l'arrière. Il me propose d'aller chez le fameux magasin chic, Didier Sachs, situé a Los Santos. Je ne refuse pas, puis nous allons en direction de ce fameux magasin. Mon père ainsi que Luciano, me propose des vêtements de haute couture, qui coûtent horriblement cher. Mais mon père reste souriant tout en me proposant des vêtements. Je n'hésite pas a prendre ce qui me plaît, mais je prends aussi une tenue professionnelle, ce que mon père veut que je prenne avant tout. Nous remontons dans la voiture de mon père, avec des achats dépassant le salaire de celui du maire, pour ensuite se rendre chez moi pour que je range mes vêtements, a Palomino Creek. Mon père me demande de rester avec Fabrizio, pour qu'il m'apprenne le fonctionnement des armes à feux. Fabrizio termine une dernière arme à feu, puis il prend des balles avec pour ensuite sortir de l'entrepôt. On se dirige alors vers sa voiture, une voiture assez luxueuse pour un travailleur comme lui, puis nous allons alors dans les bois avec l'arme en question.
Forêt de Los Santos.
Stand de tir, champ libre.
Année 2014.
Stand de tir, champ libre.
Année 2014.
Nous nous arrêtons un peu plus loin de Palomino Creek, et nous montons alors vers les bois. Fabrizio prend l'arme en main droite, commençant a la charger a balles réels. Il m'apprend alors qu'avant tout, quand on crée une arme, il faut la tester pour ensuite la vendre sur le marché. Une arme qui fonctionne pas ne peux pas être vendu, c'est logique. Il s'approche d'un arbre des bois, puis il se met à tirer un chargeur complet. Le bruit est deux fois plus amplifié qu'une arme de base, sachant qu'elle est faite a la main et qu'elle n'est pas homologuée. Il change de chargeur, et me tends l'arme. Il me propose de tirer, alors je la prends en main droite, et je me mets à viser. Je tire une balle dans un arbre des bois, et l'arme se met à vaciller de tout les côtés. Fabrizio me dit de mettre les deux mains, ce que je fais. Je constate alors que le recul est amoindri quand on met les deux mains, mais après avoir tiré une deuxième balle, des personnes au loin nous interpellent. Il s'agit de deux officiers de police, qui dégainent leur armes sur moi. Je tends l'arme a Fabrizio, et je commence à trembler. Je sais quels sont les risques du métier, et je sais que Fabrizio n'a pas le permis pour cette arme, sachant qu'elle est illégale. Fabrizio, sous la menace des policiers, se met a marcher vers son véhicule, ne prenant pas conscience du danger. Je lui dit de s'arrêter, mais il continue sa route vers sa voiture. Les agents se mettent a braquer Fabrizio, tout en avançant vers lui. Fabrizio ouvre la porte arrière, et me demande de monter. Je me mets à marcher vers la porte ouverte, et je remarque une AK47, chargée. Fabrizio jette l'arme sur la place arrière, là ou je suis, je prends l'arme en main droite, et d'un seul coup, Fabrizio prends l'arme de guerre dans les deux mains, puis se met à courir vers le capot de son véhicule, commençant a tirer par rafale.
Il hurle que je dois rester caché, ce que je fais. Je tremble énormément, et j'appelle alors mon père. Je lui annonce qu'un échange de coup de feux vers Palomino vient de se produire, et a peine avoir annoncé ses coups de feux, une équipe de l'entrepôt se dissimule derrière les agents pour les abattre au fusil à pompe. Parmi les tireurs, Frank était présent. Frank se dirige vers la voiture, puis me remarque. Il commence à paniquer, et me demande si je vais bien. Je lui réponds que oui, et ensuite il se rapproche de Fabrizio, d'un air moins inquiété pour lui demander ce qu'il c'est passé. Fabrizio lui dit qu'on ne doit pas rester là, pour qu'à la fin tout le monde se rejoigne dans l'entrepôt d'armes.
Une fois arrivé a l'entrepôt, j'explique tout à mon père, et Fabrizio explique les raisons de son tir uniquement parce qu'il avait une arme de guerre en passager, et une arme non homologuée dans les mains. Il a aussi expliqué qu'il ne voulait pas que j'aille en prison car les agents m'avaient vu tirer avec une arme. Mon père fixe Fabrizio, acquiescent de la tête, le félicitant alors de sa bravoure et de m'avoir protégée. Mon père me prends dans ses bras, je suis tremblante, mais je ne pleure pas. Mes émotions ne changent pas, je fixe Frank, qui vient de me sauver la vie, pour ensuite lâcher mon père. Frank me proposera alors de venir en discuter au bar de Lucenzo, qui est déjà ouvert à cette heure-ci. Il me raccompagne chez moi, j'enlève ma tenue de sport pour ensuite mettre une des tenues que j'ai acheté chez Didier Sachs, pour ensuite aller sur Los Santos.
78th, Idlewood.
Bar Italien, avec Frank.
Année 2014.
Bar Italien, avec Frank.
Année 2014.
Frank se gare près du bar, pour ensuite me demander si j'allais bien. J'acquiesce malgré le mauvais moment que je viens de passer à esquiver des tirs.
Je rentre avec Frank, et je salue alors Lucenzo, en souriant. Lucenzo est au courant des histoires qui tournent, il me prends dans ses bras et me demande si ça va bien. Je lui dis que tout ce passe pour le mieux, et Frank lui parle de son sauvetage. Il se mit a rire, Lucenzo aussi. Nous nous installons alors a une table, puis Lucenzo nous ramène les cartes pour faire un poker. Frank m'apprends a jouer, et nous discutons de tout et rien, avec une bière pour Frank et une bouteille de coca classique pour moi, que le gérant nous ramène.
Une question me trottine, et je la pose alors. Est-ce que mon petit ami, Quarto, est au courant des activités qui se passent dans son dos ? Frank me répond négativement, en hochant la tête de droite à gauche. Je lui demande alors, pourquoi je dois être mêlée a ses affaires, Frank me répond pour la seule et bonne raison que je suis fille unique de la famille de mon père, et que je devrais un jour prendre sa place. Je rétorque alors la même question mais en changeant les noms, je demande alors si ma meilleure amie, qui est d'autre la fille de Frank, est au courant de ses activités. Frank soupire, et me réponds que c'est la même chose pour Quarto. Ils ne doivent pas être au courant de ce genre de trucs, parce que nous savons que ce n'est pas une vie pour eux, tout simplement. Je soupire moi aussi, fixant alors mes cartes de jeu. Frank m'explique comment jouer, mais je perds assez souvent. C'est un jeu de hasard, autant dire que le hasard ne m'aime pas, c'est sûr.
Je décide de lui reposer une question. Je suis au courant des activités de Luciano, de mon père, de Marco, de Fabrizio qui ne reste pas très souvent avec mon père, mais je ne sais pas ce que fait Frank. Je lui demande alors son but et ses objectifs dans les activités de mon père. Il m'informe qu'il organise les actions réfléchies, les extorsions, les braquages, ainsi que les exécutions. Frank est un peu le moteur du projet de mon père, vu que les financements du projet vient majoritairement des extorsions et des braquages. Il m'explique aussi qu'il fait du mieux pour que je le vois d'un bon oeil, si je viendrais a remplacer mon père un jour, il faudra bien qu'on coopère ensemble pour les mêmes affaires. Je souris, et lui dit d'avance qu'on est déjà bons amis. Il sourit de même, et annonce alors qu'il vient de gagner sa cinquième partie consécutive. Je sais qu'il est entrain de me narguer, mais il sourit. Lucenzo nous rejoint, et il apprends ce qu'il c'est passé tout à l'heure par le biais de Frank. Je pose alors la question a Lucenzo, et lui demande ce qu'il apporte à mon père. Il m'annonce alors qu'il fait uniquement la couverture légale de son projet, et qu'il fait l'animation, tout en souriant. Frank se met à rire, de même pour moi. J'en apprends de plus en plus sur le projet de mon père, et ça commence à me plaire. Durant les parties de poker, Frank explique ce que mon père veut me voir faire. Si je suis capable de diriger Fabrizio, je serais alors capable de diriger plusieurs personnes de la même trempe que lui, et diriger le système de création, la drogue, les armes, et pour finir, la création d'explosifs.
Frank m'annonce que mon père me fera visiter demain l'entrepôt de drogue, pour la transformation de différents produits comme la drogue, et les explosifs. Il veut que j'ai des connaissances, en tout genre. A ce moment là, mon père, entre dans le bar tout en fixant Lucenzo qui le salue. Il me fixe dans les yeux avec un sourire, tout en s'approchant de moi. Il me demande comment je vais, je lui réponds positivement et je lui annonce que j'ai appris a jouer au poker. Juste après nos salutations, mon père m'informe que je pars pour Las Venturas, pour un autre entrepôt demain. Je ne montre pas ma joie, car je sais ce que je vais faire d'avance là-bas. Je fixe Frank, et je souris tout simplement. A l'instant même ou je fixe Frank, son téléphone sonne. Il le prend en main droite, répondant a un appel. Un informateur de la catégorie de Frank lui annonce la découverte d'un entrepôt rival. Il en parle à mon père directement, puis mon père hoche positivement de la tête. Je questionne mon père ce qui vient de se produire, puis il m'annonce qu'il m'en parlera demain. Il me propose de me raccompagner soit a Richman, soit a Palomino Creek. Je lui demande de me raccompagner sur Palomino Creek pour que je m'habitue a ma nouvelle maison. Il me sourit, et me félicite.
24th, Palomino Creek.
Maison de Chelsea Vittore.
Année 2014.
Me voilà sur le seuil de ma porte. Je l'ouvre, j'entre puis je referme a clef. En espérant que demain ne va pas être une journée mouvementée comme celle-ci. Peut-être que ma vie va se résumer a ça.
Petite sieste de quelques heures.
Mon téléphone retentit. Mes yeux s'ouvrent petit à petit et je prends mon téléphone en main droite. Je le colle à mon oreille, c'est Frank qui m'appelle. Il me demande ou je me situe, et je lui réponds que je suis sur Palomino Creek. Il remarque qu'il vient de me réveiller, mais il me demande de me déplacer a l'entrepôt de Palomino. Je lui dis que j'arrive dans cinq minutes, puis je raccroche. Je remets mes vêtements de sport, puis je me dirige vers l'entrepôt. Je vois Frank, ainsi que Luciano qui me regardent au loin. Je me dirige vers eux.
Ils me saluent, puis je les salue en souriant. Ils me demandent de rentrer dans l'entrepôt, puis ils mettent a disposition un gilet par-balle. Je leur demande à quoi ça va me servir, puis ils m'annoncent qu'ils ont besoin d'une autre personne pour attaquer l'entrepôt. Ils me disent aussi que je vais faire connaissance d'un des soldats qui fait partie de l'entrepôt sur Bayside, ceux qui font les explosifs.
J'enlève mon haut de sport puis je met le gilet par-balle, pour ensuite remettre mon haut. Puis, quelques minutes après, Almada, le fameux soldat de l'entrepôt de Bayside arrive, avec mon père. Mon père vérifie si j'ai le gilet sur moi, ce que je lui montre, puis nous partons dans deux voitures noires. Almada me pose alors une question d'une manière assez déplaisante, comme quoi une fille de mon genre faisait ici. Mon père l'a immédiatement recadré et lui ai dit que j'étais sa fille. Almada s'excuse, et se présente alors. Je me présente à mon tour, l'air souriante. Almada à déposé deux sacs dans la voiture ou je suis. Il en ouvre un extirpant alors plusieurs armes de poings. Il m'en tend un, et en tendra un a mon père. Un autre homme conduit la voiture, il est déjà armé. Je regarde si mon arme est chargée, puis je la range. Je demande ce qu'Almada peux apporter a mon père, puis il me raconte qu'il dirige l'entrepôt d'explosifs. Un atout majeur selon Almada car il peux faire des tensions comme il peut les calmer, comme ce qu'on va faire maintenant. Dans son autre sac, des charges d'explosifs assez puissants pour faire tomber un bâtiment. L'entrepôt se situe sur Las Venturas, au nord de la ville.
Las Venturas.
Entrepôt rival.
Année 2014.
Quelques temps après, nous découvrions alors l'endroit. Un énorme entrepôt, deux fois plus grand que le nôtre sur Palomino Creek. On gare les deux voitures loin de l'entrepôt, puis Luciano, le conseiller, s'approche d'Almada et de nous. Il propose a Almada de passer par les égouts, pendant que mon père, lui même et moi protégeons l'entrée de l'égout. Mon père acquiescera alors, tout comme Almada. Je rejoint leur cause, et je décide alors de prendre mon arme en main. Nous partons tous vers les égouts, pour escorter Almada. Il pose plusieurs charges d'explosifs sous l'entrepôt, dans des endroits bien spécifiques, puis il tombe sur les conduits de gaz. Luciano n'avait pas prévu ça, mais tant mieu. Almada fixe la dernière charge d'explosif sur les conduits de gaz, puis nous prenons la fuite sans aucun problème. Après notre sortie des conduits, l'alarme de sécurité se déclenche. Nous prenons la fuite, puis je rentre dans la voiture la plus proche. Des coups de feux se font entendre, mais aucun blessé. Almada décide d'appuyer sur le détonateur une centaine de mètres plus loin. L'explosion se fait entendre dans toute la ville. Mon père félicite Almada, et nous nous redirigeons alors vers l'entrepôt d'Almada pour le raccompagner. On fera alors juste après un détour vers San Fierro pour éviter d'avoir tout problème.
24th, Palomino Creek.
Maison de Chelsea Vittore.
Année 2014.
On me raccompagne chez moi, je dépose le gilet par-balle chez moi et je range aussi l'arme a feu. Je m'assois sur mon lit, mettant mes deux mains sur ma figure. Je ne me rends pas compte, mais mon cœur se met a accélérer. Je réalise ce que je viens de faire, mais je me calme petit à petit. Je m'allonge sur mon lit, et tente alors de me rendormir.
Réveil compliqué.
Mon téléphone retentit encore une fois. Je suis exténuée, et j'ai encore envie de dormir, mais je réponds avec une voix rauque, proche de l'évanouissement. C'est mon père, il m'annonce qu'on doit aller visiter l'entrepôt d'explosifs sur Bayside. J'accepte malgré la fatigue, je raccroche puis je vais prendre une douche.
Quelques minutes plus tard, je sort de la douche, puis je fixe le gilet par-balle situé dans mon placard qui est ouvert, ainsi que mon arme. Je prends le gilet, puis je l'équipe ainsi que mes vêtements de sport, et mon arme de poing que je cache sous le survêtement. Je sort dehors, j'attends quelques minutes et je vois mon père qui arrive.
Almada est en passager, je monte alors a l'arrière, puis nous allons finalement au bar de Lucenzo. Mon père m'explique alors qu'il est plus judicieux de rester dans des endroits publics, à cause d'hier. Mon père, comme a son habitude, se gare devant le bar, pour ensuite rentrer. Je salue Lucenzo qui me salue en souriant, puis nous allons a la même table que hier. J'y retrouve Marco, Luciano ainsi que Frank. Je remarque alors qu'ils sont tous entrain de se faire discret, pour éviter les problèmes. Mon père prends la parole, m'informant alors que je m'occuperais essentiellement des armes de poing pour le moment, et que je ferais alors l'intermédiaire entre son projet et le monde extérieur. Frank, le plus jeune, prendra la parole pour dire que mon père est tellement vieux que c'est moi qui doit reprendre ses affaires. Mon père ne manquera pas de rire, tout comme les autres. Après l'entrée au bar, mon père m'informe que je serais quelques temps sous l'aile de Frank, qui m'apprendra alors le maniement d'une arme a feu. Ensuite, je serais sous l'aile de Luciano, qui m'apprendra comment conseiller, pour que je prenne les décisions comme il le faut, et pour la fin, je serais sous l'aile de Almada, pour les connaissances en explosifs. Chacun des personnes cités acquiesceront, puis par la suite, Lucenzo raménera les cartes pour le poker. Je décide de pas jouer, mais d'observer. Je me mets à réfléchir dans mon coin, de mon avenir, de ce que je pourrais faire plus tard. Je fixe la table de jeu, tout en réfléchissant seule.
Frank reçoit un appel. Un ordre d'exécution est demandé a l'entrepôt d'armes, il discute rapidement avec mon père, qui lui se contentera de me fixer. Il me dit de me lever, et d'aller rejoindre la voiture a Frank, ce que je fais immédiatement. Frank me rejoint juste après, nous montons dans la voiture pour ensuite partir vers Richman. Frank me demande si j'ai mon gilet par-balle ainsi que mon pistolet sur moi, je lui réponds positivement. Il commence à sourire, et rajoute qu'il tient les mêmes réflexes que mon père. Il m'annonce alors sèchement que je dois exécuter un homme de Richman, habitant a l'opposé de chez moi. Je lui réponds que mon père habite là-bas, et que si il me voit, mon père aurait des problèmes, mais il rétorque que si je le tue, il dira rien. Je réfléchis pendant quelques secondes et j'avais oublié la tâche qu'il m'a confié pendant que je parlais tout à l'heure. Je souris, puis je sort mon arme entre mon ventre et mon jogging de sport noir. Il est chargé, sécurisé désactivé. Il m'informe que dix-sept balles sont a l'intérieur, et qu'il ne faut pas que j'en rate une. L'homme que je dois exécuter ne doit plus bouger, et c'est en pleine journée, alors les habitants peuvent être alertés à tout moment à cause des tirs. Quelques minutes plus tard, il me dépose a quelques mètres où l'homme habite. Je descends alors de la voiture, puis un frisson vient me marquer d'un coup sec. Je commence à trembler des pieds, et réalise que je dois exécuter le père d'une des connaissances là ou j'étais en étude supérieure. Frank insiste et me dit d'y aller, mais je bloque sur place. Quelques secondes plus tard, je décide de faire des pas en avant, et de marcher. Je marche lentement, consciente du danger que je peux prendre en tirant sur la gâchette. Je vais tuer une personne, par ma propre volonté. Je mets ma capuche, et je la baisse au maximum. Morte de peur, je tremble, prêt a dégainer mon arme. Me voilà devant le portail d'entrée. Je sonne, puis l'homme ouvre de l'intérieur. J'en tremble complètement, puis je me met a marcher vers la porte d'entrée de la résidence, et je me mets a toquer. La porte s'entre-ouvre, et a peine que la porte ait pu s'ouvrir, je dégaine mon arme de poing et me met à tirer sur l'homme. Une balle, puis deux, puis trois. Des hurlements provenant de lui et de sa femme, ainsi que de ma copine d'étude supérieure se font entendre. J'en suis à la dixième balle. Je tremble comme pas possible, je vise la tête et au bout de la douzième balle, il ne bouge plus. Je continue de lui tirer les cinq dernières balles, et je me mets à courir tout en tremblant de peur. Je suis à deux doigts de l'évanouissement, mais je reste debout. Je cours, du mieux que je peux, j'essaye d'aller vers la voiture de Frank, j'ouvre la porte passager et d'un coup, une sirène de police retentit. Je monte dans la voiture, Frank met un coup énorme d'accélérateur, la police nous remarque mais s'arrête vers la résidence. Ils sortent pour rentrer dans la maison. Frank commence a hurler de joie, tout en me félicitant, mais d'un coup, je m'évanouis de peur, tête contre la vitre du véhicule de Frank.
Cœur sur la pensée.
24th, Palomino Creek.
Maison de Chelsea Vittore.
Année 2014.
Je suis sur mon lit, j'entre-ouvre les yeux et fixe le sol de ma maison. Frank à du me raccompagner chez moi. Je regarde la commode et remarque alors qu'une lettre m'est destinée. J'ouvre la lettre, c'est Frank qui m'écrit.
« Chelsea,
C'est Frank qui t'écris. Je suis vraiment désolé de t'avoir fait subir ça, je ne savais pas que t'avais peur à ce point là. Ton père veut que tu deviennes une membre à part entière de son projet, tu vois ? Il veut te faire apprendre tout ce qu'il n'a pas appris, et il veut que tu sois une débrouillarde dans les années à venir. Je t'ai laissé un sac en dessous de ton lit, il y'a la moitié de la paye pour le gars que t'as tué. Sa fait partie des risques du métier. Je ne t'ai pas prévenu à l'avance, j'en suis désolé. Ton père est au courant de ce qui se passe, il reste au bar de Lucenzo toute la journée si tu veut le voir. Passe une bonne soirée si tu te réveilles dans la soirée. Frank. »
Je me lève alors, me souvenant du meurtre que j'ai commis. Je commence à pleurer, j'en tremble encore, des larmes coulent jusqu'à mon menton. Je fixe la lettre que Frank m'a écrit, puis je regarde sous mon lit. Un sac de sport relativement lourd y est déposé. Je le traîne, puis je l'ouvre devant moi. Un nombre incalculable de sommes constituant vingt-cinq milles dollards est présent dans le sac. Je souris, tout en pleurant, me disant alors que je n'ai pas fait ça pour rien, et qu'il faut que je m'habitue. J'appelle alors Frank sur son portable personnel, et je le remercie. Il m'annonce alors que personne ne viendra me chercher sur Palomino Creek, mais en revanche, il me dit de regarder dans la commode. J'entre-ouvre la commode, et j'aperçois un permis moto, avec la totalité des points, ainsi qu'une clef avec pour inscription « Ducati ». Je commence à bloquer instantanément, puis je les regarde de plus près. Frank répète plusieurs fois mon nom, tout en rigolant. Je lui réponds, et il m'annonce que la somme qu'il à pris, c'était pour faire un faux permis moto et pour acheter une Ducati neuve. Il m'annonce aussi qu'une tenue de motarde est dans mes tenues, ce que je regarde et constate rapidement. Je sort dehors, et admire la Ducati, flambant neuve, noir pétante. Je monte dessus, je la démarre et je fais écouter le bruit du moteur a Frank. Il passe le téléphone à mon père, et mon père me demande si je suis contente du cadeau. Je reste en état de choque, et réponds positivement. Mon père me demande de venir au bar de Lucenzo, je ne lui réponds même pas tellement que je suis pressée et je raccroche. Je rentre chez moi pour mettre mes vêtements de motarde, pour ensuite ressortir et partir avec la Ducati, permis moto dans la poche droite, avec un gilet par-balle et mon arme de poing cachée. Je me dirige vers le bar de Lucenzo et je fais hurler la moto. Frank, ainsi que Luciano, Lucenzo et Marco sortent du bar tout en me fixant. Lucenzo ne manque pas de faire une réflexion sur ma tenue, tandis que Marco hurle le nom d'origine de la moto. Ils applaudissent, pendant que je gare ma moto devant l'entrée du bar. Je salue les quatre collègues, et je rentre voir mon père, souriant tout en me regardant. Il me fait un compliment sur la tenue de motarde que je porte, et je la remercie tout en ramenant un tabouret près de la table habituelle.
Tout le monde se rassoit a la table, et s'inquiète pour moi. Ils me posent des questions concernant l'assassinat de l'homme sur Richman. Mon père fixe Frank, l'air froid, puis je regarde mon père tout en lui disant que c'est moi qui a accepté et qui l'a fait pour Frank. Venceslao continue de fixer Frank, puis ses sourcils commencent a s'élargir. Il sourit, regarde tout les autres membres de la table, puis fait une confidence. Il se lève, demande aussi a Frank de se lever, et lui annonce qu'il passe au rang de « caporegime », rang respecté du projet de mon père. Luciano se lève lui aussi, tapotant dans le dos de Frank. Il applaudit, puis c'est au tour de Marco de se lever et d'applaudir. Lucenzo fera de même, en ajoutant un simple « bien joué fiston », souriant. Ils me fixent tous, alors je fais comme eux. Je me lève, sans tapoter le dos de Frank, puis j'applaudis alors à mon tour. Il me remercie, puis nous nous asseyons a table. Mon père demanda alors une tournée pour le nouveau caporegime, ce que Lucenzo fera. Une bière pour tous, sauf pour moi, qui à le droit a un coca classique. Mon père reprend la parole, tout en me fixant. « En tant que caporegime, Frank te dirigera uniquement, les plans ont changé. Ma fille, tu deviendras un jour une personne respectable dans ce milieu qui est le banditisme. Seul Frank te dirigera, et je pense que je ne me suis pas trompé sur ce camp-là. J'en est parlé avec Luciano, et lui-même m'a conseillé de le mettre à ce rang-là. » Il fixera alors maintenant Frank, lui adressant la parole. « Frank, en tant que caporegime et en tant qu'exécuteur, c'est toi qui prendra les décisions avec Luciano. Tu ne viendras plus m'adresser la parole, à par ici. Si l'envie te passe de faire démolir un truc, passes par Luciano, et non par moi. » Frank acquiescera, d'un air sérieux tout en fixant Luciano. « Un nouveau départ commence pour toi, Chelsea. », m'adresse Frank. « Je vais t'apprendre tout ce que je sais, et tout ce que je faisais en tant que soldat. »
Chapitre 2: Caporegime Frank.
24th, Palomino Creek.
Maison de Chelsea Vittore.
Année 2014.
Sous les ordres de Frank.
Le lendemain après une sieste bien mérité, je me met sur la bordure de mon lit, remarquant encore une fois un petit mot, avec comme inscription:
« Appel moi quand tu es debout, une mission qui vient de Luciano t'attends. Frank. »
Je vais dans ma salle de bain, puis je fixe le miroir. Des images me tourmentent l'esprit. Le meurtre que j'ai commis me rend dingue, j'ai un mal de tête qui commence a venir, la peur que celui que j'ai tué se venge. Même si un miroir est en face de moi, je me retourne constamment. Mon esprit est horrifié par ce meurtre. Je me mets la tête dans l'eau, pour me rafraîchir, puis je me fixe dans le miroir. Ce ne sont qu'après tout des illusions. Je secoue ma tête de droite à gauche, je tremble de peu, mais je prends mon téléphone juste après dans ma chambre et je contacte Frank. Il me demande de passer au bar de Lucenzo, pour la mission de Luciano. Je prends mon ensemble de motarde, mon gilet par-balle ainsi que mon arme que j'ai rechargée a l'entrepôt juste à côté, puis je rejoins le bar.
Frank se tient dehors. Je gare ma Ducati, et je m'approche donc de lui. Il me dit de rentrer, mon père n'est pas présent mais Luciano et Marco sont assis, avec Lucenzo qui ira fermer la porte du bar pour que sa se passe tranquille. Je m'assois a la table, et Luciano m'explique que je dois passer par Frank pour m'assurer que j'ai bien compris la mission. Luciano viendra m'annoncer que je dois exécuter un membre d'une des organisations les plus puissantes de San Andreas. Je reste calme, malgré la réaction que j'ai eu quand j'ai exécuté pour la première fois un homme. Il m'annoncera alors que je serais toute seule pour cette mission, mais que Frank me surveillera. Il s'agit d'un membre du Eighty Syndicat, Oswaldo Barrington, dit « Brainburnt ». Un membre très puissant et a la tête de la pègre Barrington. Principal fournisseur de la Eighty Syndicat, Oswaldo prépare alors une cargaison d'armes au docks de Los Santos. « Ta mission, Chelsea, c'est de l'intercepter sur le pont qui rejoint les docks, et de l'assassiner avant qu'il passe le pont. L'entrepôt de Palomino ta exclusivement réservé un ensemble par-balle pour cette mission. » ajouta Luciano. Frank, me fixant alors dans les yeux, m'envoie un message, me donne de la confiance. Je sais que je peux le faire, si il n'est pas escorté, ça va être simple. « Chelsea, la mission est à midi pile, t'as le temps de chercher l'arme que j'ai demandé sur Palomino. Fabrizio ta confectionné un pistolet-mitrailleur, je pense que ça peut te servir. », rétorquant alors Frank. Je demande si il y'a d'autres informations qui pourraient m'intéresser, puis Luciano rajoute: « La Eighty Syndicat ne doit pas savoir que le coup vient de nous. On nous à payé pour l'exécution de Oswaldo, et ce n'est pas une petite somme. Il a aidé il y'a longtemps ton père financièrement, et il a même participé aux débuts du Cartel de Sinaloa. Ce type ne doit pas rester en vie, donc ne le rates pas. On ne veux pas une vendetta contre le Eighty Syndicat, donc quand tu vas y aller, essaye de masquer ton visage au maximum. » ajoutera Luciano, avant de se lever pour me saluer. Je me lève, Frank reste assis, puis je me dirige vers ma Ducati pour aller vers l'entrepôt.
- Information sur Oswaldo « Brainburnt » Barrington.:
« La vie n'est que stupidité, horreur, et peine à s'en arracher la peau. Tandis qu'un corps gis sur le sol, un autre gis dans un fleuve. La vie n'est que peine perdue - Insouciance de soi-même, remplis d'idiots, tandis qu'un magasin prend feu, je ferais d'une innocente ma veuve. » - Barrington Armories.
Chapitre 1 : Oswaldo's borns.
« A quoi bon sert, de faire le bien, si personne ne te retiendra. Fais le mal, c'est bénéfique, tout le monde s'en souviendra. »
L'ancien temps fait oublier de vastes choses, notamment une des naissances des fins des années soixantes, précisément en 1969. Une mère, d'origine espagnole, et du père, d'origine sicilienne, forment un couple et donnent naissance à un petit monstre, monstre qui causera donc la mort de sa mère dès la naissance, suite à un problème lors de l'accouchement dans un hôpital de Pennsylvanie. Le père était présent lors de l'accouchement, tandis que le nouveau né était installé dans un caisson quelques minutes après sa naissance. Il ne pleure pas, reste passif, il ne hurlait pas, ne frétillait pas comme un nouveau né basique lors de son accouchement. Il montrait des signes de vies normales, mais ne faisait pas l'ombre d'un bruit. Sa mère ne bougeait pas, tandis que le père pleurait, assis sur une chaise en bois, qui se balançait d'avant en arrière. Le nouveau né regardait le père, puis la mère à tour de rôle, tout en restant dans le caisson qui lui à été attribué. Les grands yeux se fixèrent plutôt sur sa mère, sachant qu'il ne comprenait pas pourquoi la mère ne bougeait plus. Une dizaine de minutes plus tard, le nouveau né est changé, habillé, et est donc par la suite redistribué à son père. " Un enfant adorable ", disait la dame qui portait le nouveau né. " Il ne pleure pas, contrairement aux autres bébés, si seulement c'était la même chose partout. ", disait un autre médecin, tandis que le père versait toujours des larmes de tristesse, d'une clarté qui s'écroulait le long de ses joues, pour finir au sol, exposé à l'affût de tous.
Mesdames et messieurs, vivants de Pennsylvanie, le 24 Septembre 1969, désormais date mémorable de la naissance de la famille BARRINGTON, laisse par ses traces une fête annuelle fêtée par les plus grandes pègres espagnoles, et si cette naissance est tant convoitée par les anciens de la culture espagnole, c'est grâce à lui, Oswaldo, dit Brainburnt, autrement dit " Cerveau brûlé. ", qui à aidé pendant toute sa vie, les plus grandes pègres lors des guerres entres mobsters, en terme d'investissement d'argent. 3% lui est versé chaque année, tout les 24 Septembre, pour commémorer son utilité au sein des principaux cartels, qui aujourd'hui est estimé à plus d'une centaine de millions de dollards. L'argent lui est d'aucune utilité, temps que son séjour sur Terre lui est un paradis exemplaire.
« Longue vie à Oswaldo, vétéran qu'il soit. Puisse Dieu lui apporter ce qu'il désirera, lorsqu'il sera enfoui dans les cieux. » - 24 Septembre 2002, Juan Carlvanoha, fidèle du cartel de Sinaloa, traduction de l'un des lieutenants de la fraterie Barrington.
Exécution de Oswaldo « Brainburnt » Barrington, chef de meute de la pègre Barrington.
Je suis en route sur ma Ducati vers l'entrepôt de Palomino, quand soudain Frank m'appelle. Je prend tant bien que mal en main gauche le téléphone, puis je réponds. Il m'informe que ma cible sera dans une berline noire. J'acquiesce alors, puis je raccroche. Je gare ma moto devant l'entrepôt, puis je monte pour voir Fabrizio. Il m'accueil et me montre mon pistolet-mitrailleur. Un micro-UZI avec 50 balles dans le chargeur, de quoi cribler Barrington. Je lui dit que je ramène plus tard l'argent, et que le temps presse. Il acquiesce, et il retourne travailler. Je cache le pistolet-mitrailleur, puis je vais chez moi pour jeter mon arme de poing que j'ai sur moi. J'ai oublié de prendre la combinaison par-balle, ce que je vais donc chercher juste après. Fabrizio me la donne, puis je l'équipe tout en lui laissant mon ancienne protection par-balle. J'ouvre le mini-coffre de ma Ducati, puis je prend le casque avec vitre teinté. Je monte dessus, je referme le coffre, puis je pars direction le pont où passera Barrington.
Il est onze heures quarante-cinq. Je respire fortement, mon cœur se met a battre a plus de deux-cent km/h, je panique, mais j'essaye de garder mon calme. Quelques minutes plus tard, Frank m'envoie un message comme quoi la berline noire va venir dans ma direction. Je lit rapidement le message, puis je range mon téléphone. J'inspire une grande bouffée d'air frais, puis je vois la berline noire. Je prends mon micro-UZI en main gauche, puis je claque un grand coup d'accélérateur vers la berline. Je passe du côté droit de la voiture, et je regarde Oswaldo conduire. Un homme d'affaire d'une cinquantaine d'années conduit, c'est bien lui. Je lève mon micro-UZI vers son visage, et je tire en automatique, tout en accélérant. Les dix premières balles viennent se loger dans son crâne tandis que trente autres viendront sur la carrosserie. Oswaldo ne bouge plus, je le regarde pendant quelques secondes, puis je tire les dix dernières balles restantes dans son crâne. Je range mon micro-UZI, puis je tape un grand coup d'accélérateur. Je n'ai pas de mal a faire ça, je ne tremble pas, je n'ai plus peur. L'impression de savoir qu'il fait partie de la même trempe que moi m'inspire confiance, et je laisse alors mon stress s'évacuer. Frank me voit, il passe alors vers le pont, et voit que la voiture est arrêté. Il ira alors s'enfuir dans sa voiture, tandis que moi, je prends le chemin vers Palomino Creek, passant par tout les recoins pour éviter que la police me voit, voir même les hommes d'Oswaldo. Sans encombre, j'arrive à rentrer chez moi, avec un autre mort sur la conscience. Je jette le micro-UZI sur mon lit, puis je prend le sac de sport rempli d'argent que Frank m'avait donné pour la première victime, j'en prends cinq milles dollards et je me dirige alors vers l'entrepôt d'armes. Je vois Fabrizio, j'enlève mon casque et je marche à lente allure. Je respire tout de même vite, malgré que le meurtre n'était pas si impressionnant que ça. Je fixe Fabrizio, avec un visage non-expressif, puis je lui tends l'argent. Il me remercie, puis je sort de l'entrepôt pour contacter Frank. Il me félicite, et m'informe que l'argent sera chez moi dans quelques heures.
Je rentre chez moi, puis me confronte encore une fois a mon miroir dans ma salle de bain. Je ne remarque pas encore que je viens d'assassiner un chef de meute, pègre d'une mafia et membre du Eighty Syndicat. Pour une nouvelle qui apprends les bases, je redoute ce qui peut m'arriver dans les jours a venir. Dans tout les cas, j'étais masquée, personne n'a pu me reconnaître. Il faut juste que je change de moto, et avec l'argent d'Oswaldo, je pourrais alors m'en racheter une nouvelle pour passer inaperçue, voir même m'acheter une voiture.
Frank fait de moi une tueuse sans aucune pitié. Mon père veut que j'apprenne, alors j'apprendrais.
Je prends contact avec Luciano, et je l'appelle. Je lui demande alors qui est demandeur dans l'exécution d'Oswaldo, et il m'informe que c'est la hiérarchie supérieure du Cartel de Sinaloa qui c'est permis de nous payer contre la mort de Barrington. Je lui demande juste après la raison de l'exécution, il réponds pas a ma question mais il émet une hypothèse concernant l'argent donné par mois pour Barrington, qui s'estime aux pourcentages des gains du Cartel de Sinaloa. Il me fait part du prix de l'exécution d'Oswaldo qui était estimé a plus d'un million de dollards, c'est donc pour cela que le cartel a demandé notre service. Juste à ce moment là, Frank sonne à ma porte, je lui ouvre, puis je raccroche a Luciano, ayant eu ce que je voulais. Il arrive avec deux sacs de sports très lourd, avec 200.000$ en cash. Le reste est redistribué a mon père ainsi qu'à Frank, et à Luciano. Je lui demande de mettre les deux sacs dans un des armoires vides, puis il m'informe qu'une nouvelle tâche arrivera d'ici bientôt. Il me pose aussi une question qui est simple: comment vais-je dépenser cet argent. Je lui réponds de vive voix que je vais investir dans une entreprise pour mon père, afin que lui et moi nous touchions des recettes de fin de mois. Il me sourit, trouvant mon comportement et mes idées justes. Il m'informe juste après qu'il a passé commande pour des armes lourdes, et que ceux-ci seront mis a ma disposition pour les différentes tâches que je devrais assigner au cours de ma carrière. J'acquiesce du visage puis il m'affirme que le lendemain, je devrais être assigné a une tâche d'assassinat sur un civil quelconque. Juste après ses paroles, il se dirige vers la porte, prêt a partir, ce que je laisse faire.
Venceslao Vittore : Vittore et le clan Chelsea.
Peu après avoir reçu la visite de Frank avec les deux-cent milles dollards, je reçois un appel de mon père. Il me donne rendez-vous au bar de Lucenzo. Je raccroche, puis je me met sur ma Ducati, allant vers Los Santos.
Je gare ma moto, puis j'entre alors dans le bar. Mon père, accompagné de Frank, de Luciano, de Marco, de Lucenzo ainsi que de Almada sont présents autour de leur table favorite. Je m'assois alors a leur table, puis j'écoute alors mon père attentivement. Il m'annonce qu'après les actions que j'ai faite, notamment celle contre Oswaldo Barrington, je suis capable d'être débrouillarde et de créer un clan au sein même du projet de mon père. Il m'annonce ensuite qu'il me mettra alors dirigeante d'un clan indépendant, avec comme conseiller Frank. J'acquiesce, puis je lui demande ce que c'est d'être leader d'un clan. Étant donné que j'ai pu exécuter un membre de la Eighty Syndicat, il me propose alors de créer un clan dans le but de faire le sale travail que Luciano ramènera, il parle bien-sûr des exécutions quelconques. Luciano prends la parole, et m'informe que je dois recruter alors des personnes qui seront de mon côté, tout en faisant partie de la cause de mon père. Je dirigerais alors mon clan en tant que chef, et Frank sera mon conseiller. Frank prendra alors juste après la parole, pour m'informer que je dois rester sur ma garde à cause de l'exécution de tout à l'heure.
J'acquiesce, mais je ne sais pas comment m'y prendre pour recruter des soldats qui exécuteront mes tâches. Frank rétorque en me proposant de recruter des hommes de mains, qui pourront exécuter mes ordres si plusieurs tâches concernant les exécutions venaient a arriver en même temps. Sa me permettra alors d'avoir la conscience tranquille, et de donner des ordres pour me responsabiliser dans le milieu du banditisme. Luciano rétorquera juste après en m'informant que je peux trouver des soldats de différentes spécialisations dans les entrepôts. Je peux recruter un créateur d'armes à feu, comme Fabrizio, je peux recruter un homme qui s'occupera des explosifs, comme Almada, et je pourrais trouver des soldats qui exécuteront les tâches prévus, comme Frank. Je décide alors de me responsabiliser, et d'accepter l'offre. Mon père me sourit, appréciant alors ce qu'il m'a appris pendant ces derniers jours. Je décide alors de me lever, saluant alors la haute hiérarchie, ayant alors comme unique objectif de recruter des hommes de main qui exécuteront mes tâches, en contre-partie d'argent. Je sort du bar, démarrant ma Ducati pour foncer directement a l'entrepôt de Palomino.
Je vais voir Fabrizio, pour lui demander si un homme serait disponible pour rejoindre mon clan. Il me propose alors une de ses apprenties, répondant au nom de Vera. Elle s'occupe de la gestion des armes à feu mineures, et s'occupe aussi des pistolets-mitrailleurs. Je fais alors connaissance avec elle, et elle apprends vite que je suis la fille de Venceslao. Je m'intéresse alors à elle, et je voudrais en apprendre plus sur elle. Elle m'apprends alors qu'elle est débutante dans le domaine des armes à feux, mais elle en crée de bonnes qualités, et qu'elle sait manier ce genre d'engins. Je lui propose une place dans le clan en tant que créatrice d'armes à feu, ce qu'elle accepte quelques secondes après. On s'échange nos numéros au cas-où si j'ai besoin d'elle, puis je pars en direction de ma Ducati pour aller à l'entrepôt d'explosifs, sur Bayside.
Je fais la rencontre d'Almada. Il est au courant de la recherche d'hommes de mains pour mon clan, puis il me re-dirige vers deux personnes. Je m'informe sur l'une des personnes, qui se nomme Renato, qui apprends par le temps que je suis la fille de Venceslao. Je lui pose quelques questions, et il s'avère qu'il connaît son domaine. Je décide de le prendre sans m'adresser à la deuxième personne, et je lui demande aussi son numéro pour qu'on reste en contact.
Ayant mes deux principaux pillier de mon clan, ainsi que Frank qui supervise en tant que conseiller, je recherche des hommes de main pour les exécutions. Je l'appelle donc, pour me renseigner là-dessus. Il me répond, en m'informant qu'il tient deux hommes de main qui pourront me rendre la tâche plus facile. Je le rejoins sur Los Santos, puis les présentations se font.
L'un s'appelle Sergio, tandis que l'autre s'appelle Scapione. Je fais des rapides tests, pour savoir si ils sont aptes a rejoindre mon clan. Ils me précisent qu'ils ont fait de nombreuses tâches pour mon père, et avec la certification de Frank, sans aucune hésitation, je les accepte. J'informe alors a Frank que mon clan est au complet, et que Vera la créatrice d'armes ainsi que Renato le créateur en explosifs sont dans mon clan. Il acquiesce et m'informe que j'ai fais un bon choix.
Quelques heures plus tard, je reçois un appel de Frank, qui me demande d'orchestrer deux meurtres sur Jefferson, deux membres de gang afro-américain d'un haut-rang. J'accepte la tâche et je demande alors à Sergio de s'occuper des deux personnes. J'appelle Sergio, et je lui demande de passer chez moi, en lui donnant les coordonnées de ma maison. Je passe un coup de fil a Vera, et lui demande alors un micro-UZI avec deux chargeurs ainsi qu'un gilet par-balle, en cas de coup dur. Elle m'apporte ça après la venue de Sergio, et je fournis donc mon exécutant qui s'occupera de la tâche sur Jefferson. Je paye en cash dix milles dollards à Vera, pour la tâche qu'elle vient d'accomplir, puis j'informe Sergio d'aller accomplir sa tâche. Je prends mon micro-UZI sur moi, et je l'accompagne sur Jefferson. Je le regarde, puis sans aucun frisson, il sort son arme que je lui ai donné avant, et exécute les deux hommes, blessant un autre individu accidentellement. Il prend la fuite, puis je lui demande de me rejoindre chez moi.
Frank s'occupe du transport d'argent, et me rapporte 40.000$ en liquide. Je donne vingt milles dollards à Sergio, puis je garde les vingt milles pour moi, histoire de rembourser les 10.000$ pour l'armement, et 10.000$ pour l'investissement dans le futur. Fière de mon clan, je viens d'accomplir ma première tâche en tant que chef de meute.
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Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Dim 8 Nov - 22:26
Transport de fonds interrompu par le clan Chelsea.
Le lendemain, je lève les yeux vers mon plafond comme à mon habitude, en entre-ouvrant mes yeux. Je reçois un appel de Luciano, je prends mon téléphone en main droite et je réponds. Luciano m'informe qu'un transport de fonds à lieu entre Los Santos et San Fierro. Il me demande alors de tenter l'attaque avec l'équipe que je dirige. Je ne refuse pas, et j'appelle alors par la suite Vera, pour qu'elle contacte les grands travailleurs concernant le trafic d'armes lourdes. Après ça, je lui demande de me ramener cinq armes de guerre de type AK47, avec des gilets par-balle. Quelques minutes après la commande, j'appelle l'équipe composé de Frank, au courant de l'attaque, Renato, Sergio ainsi que Scapione, et leur demande de venir a la maison. En quelques minutes, l'équipe est présente dans ma maison, je les invite a l'intérieur autour d'une table, mais avant, je m'habille en survêtement de sport ainsi qu'une paire de gants. Je leur demande par-ailleurs de venir en survêtement eux aussi.
Renato, Sergio et Scapione me demande la raison de leur appel, tandis que Frank est au courant de tout. Il me laisse expliquer le plan, mais j'attends la venue de Vera, qui ne se fera pas prier en quelques minutes elle aussi avec la commande. Elle s'assoit a la table, déposant deux sacs de sport remplis d'armes de guerres.
J'explique alors le plan qui consiste a braquer un des fourgons. Frank émet une hypothèse comme quoi dans un fourgon, plus d'un million cinq-cent milles dollards seraient présents. Si on arrive a choper le deuxième, trois millions seront à la clef, ce qui excite pas mal de membres dans le clan.
Je les informe que ce n'est tout de même pas de la rigolade, de nombreux flics pourront être présents, et des coups de feux peuvent être présents, ce qui les calme rapidement.
Vera ira alors sortir les armes ainsi que les gilets que j'ai demandé, pendant que j'explique le plan.
Je propose donc l'hypothèse de ramener deux véhicules, un qui bloque l'avant du fourgon pendant que l'autre bloque a l'arrière. Renato fera exploser l'arrière de la porte pendant que Sergio et Scapione tire sur les conducteurs. Renato ainsi que Frank prendront l'argent pendant que les conducteurs du fourgon seront attaqués. Le temps de faire le transport entre le véhicule arrière et l'argent dans le fourgon, je suppose un temps d'une vingtaine de secondes avant que les flics débarquent.
Les membres du clan, même Frank acquiesce sur l'idée. On part alors sur cette idée, personne ne fait d'opposition. Tout le monde prends une kalashnikov du sac, portant alors la leur en bandoulière. On prends le véhicule de Sergio tandis que la moitié de l'équipe prend le véhicule de Frank. On se pose sur la route qui longe Angel Pine, attendant alors le fourgon.
Une trentaine de minutes, l'équipe de moi, Sergio et Scapione, on remarque des véhicules de police. Je reste en contact avec l'équipe de Frank pour leur communiquer le message. Frank émet l'hypothèse qu'on tire d'abord sur les agents avant de s'occuper du fourgon. Le fourgon avance trop vite, pas le temps de changer de plan.
Je tape un coup d'accélération, puis Sergio et Scapione sortent en drive-by, arme de guerre en main. Sergio crève les deux roues arrière, pendant que Scapione tire d'une précision dans la tête du conducteur d'une UPS a l'arrière. Une autre UPS s'arrête a l'avant du fourgon, mais l'équipe de Frank, Renato et Vera exécutent les deux dans l'UPS a l'avant. Frank m'informe que l'UPS devant est neutralisé, le fourgon est bloqué mais le conducteur du fourgon sort une arme de poing et tire sur Frank. Projeté par la balle, Frank est touché a l'épaule droite, protégé par le gilet par-balle. Il se cache derrière sa voiture, tandis que Renato exécute le conducteur. Je remarque alors qu'un dernier agent de l'UPS arrière me braque, puis Sergio l'exécute de deux balles en pleine tête. Voilà maintenant que trente secondes ce sont écoulés, le plan commence a retarder, Renato se met à courir a fière allure vers l'arrière de l'UPS, faisant exploser l'arrière avec une charge explosive. Toute l'équipe se met a prendre l'argent pour accélérer le processus, mais une autre équipe ainsi qu'un hélicoptère de police intervient. On prend le dernier pack d'argent, le déposant alors dans la voiture de moi, Sergio et Scapione. Je décide alors de conduire le véhicule où l'argent est disposé, Frank vient en passager à côté de moi pour se mettre a drive-by, tandis que les quatre autres membres du clan se mettent dans l'autre voiture pour ralentir les autres UPS. Frank braque l'hélicoptère de police, puis tire quelques balles. L'hélicoptère se met en retrait, suite au balles qui peuvent être perdus, puis j'arrive a semer l'équipe de police. L'équipe de Sergio, Scapione, Renato et Vera réussissent aussi a s'enfuire vers San Fierro. On passe en go-fast vers Bayside, les deux véhicules criblés de balles. On dépose Renato dans l'entrepôt d'explosifs, puis je ramène Sergio, Scapione et Vera sur l'entrepôt de Palomino. Frank reste avec moi, et nous nous cachons dans notre appartement, argent qu'on transporte dans la maison. Je remarque alors la balle qu'à pris Frank, puis il enlève son gilet par-balle pour le déposer à côté de lui. Il m'annonce que tout va bien, lui et moi départageons l'argent, et je me mets a téléphoner a Luciano pour lui confirmer que la mission est un succès. 200.000$ pour moi, 200.000$ pour Frank, 300.000$ pour Vera, 200.000$ pour Scapione, 200.000$ pour Sergio, 200.000$ pour Luciano et 200.000$ pour mon père.
Quelques heures après la mission, j'appelle Frank, Vera, Scapione, Sergio, Luciano et mon père a la planque sur Palomino. Ils repartent chacun avec leur butin, et déposent leur armes de guerres chez moi. Je soupire, allant alors sur mon lit, commençant a comprendre que ma vie a réelement changé.
24th, Palomino Creek.
Maison de Chelsea Vittore.
Année 2014.
Le lendemain, je lève les yeux vers mon plafond comme à mon habitude, en entre-ouvrant mes yeux. Je reçois un appel de Luciano, je prends mon téléphone en main droite et je réponds. Luciano m'informe qu'un transport de fonds à lieu entre Los Santos et San Fierro. Il me demande alors de tenter l'attaque avec l'équipe que je dirige. Je ne refuse pas, et j'appelle alors par la suite Vera, pour qu'elle contacte les grands travailleurs concernant le trafic d'armes lourdes. Après ça, je lui demande de me ramener cinq armes de guerre de type AK47, avec des gilets par-balle. Quelques minutes après la commande, j'appelle l'équipe composé de Frank, au courant de l'attaque, Renato, Sergio ainsi que Scapione, et leur demande de venir a la maison. En quelques minutes, l'équipe est présente dans ma maison, je les invite a l'intérieur autour d'une table, mais avant, je m'habille en survêtement de sport ainsi qu'une paire de gants. Je leur demande par-ailleurs de venir en survêtement eux aussi.
Renato, Sergio et Scapione me demande la raison de leur appel, tandis que Frank est au courant de tout. Il me laisse expliquer le plan, mais j'attends la venue de Vera, qui ne se fera pas prier en quelques minutes elle aussi avec la commande. Elle s'assoit a la table, déposant deux sacs de sport remplis d'armes de guerres.
J'explique alors le plan qui consiste a braquer un des fourgons. Frank émet une hypothèse comme quoi dans un fourgon, plus d'un million cinq-cent milles dollards seraient présents. Si on arrive a choper le deuxième, trois millions seront à la clef, ce qui excite pas mal de membres dans le clan.
Je les informe que ce n'est tout de même pas de la rigolade, de nombreux flics pourront être présents, et des coups de feux peuvent être présents, ce qui les calme rapidement.
Vera ira alors sortir les armes ainsi que les gilets que j'ai demandé, pendant que j'explique le plan.
Je propose donc l'hypothèse de ramener deux véhicules, un qui bloque l'avant du fourgon pendant que l'autre bloque a l'arrière. Renato fera exploser l'arrière de la porte pendant que Sergio et Scapione tire sur les conducteurs. Renato ainsi que Frank prendront l'argent pendant que les conducteurs du fourgon seront attaqués. Le temps de faire le transport entre le véhicule arrière et l'argent dans le fourgon, je suppose un temps d'une vingtaine de secondes avant que les flics débarquent.
Les membres du clan, même Frank acquiesce sur l'idée. On part alors sur cette idée, personne ne fait d'opposition. Tout le monde prends une kalashnikov du sac, portant alors la leur en bandoulière. On prends le véhicule de Sergio tandis que la moitié de l'équipe prend le véhicule de Frank. On se pose sur la route qui longe Angel Pine, attendant alors le fourgon.
Une trentaine de minutes, l'équipe de moi, Sergio et Scapione, on remarque des véhicules de police. Je reste en contact avec l'équipe de Frank pour leur communiquer le message. Frank émet l'hypothèse qu'on tire d'abord sur les agents avant de s'occuper du fourgon. Le fourgon avance trop vite, pas le temps de changer de plan.
Je tape un coup d'accélération, puis Sergio et Scapione sortent en drive-by, arme de guerre en main. Sergio crève les deux roues arrière, pendant que Scapione tire d'une précision dans la tête du conducteur d'une UPS a l'arrière. Une autre UPS s'arrête a l'avant du fourgon, mais l'équipe de Frank, Renato et Vera exécutent les deux dans l'UPS a l'avant. Frank m'informe que l'UPS devant est neutralisé, le fourgon est bloqué mais le conducteur du fourgon sort une arme de poing et tire sur Frank. Projeté par la balle, Frank est touché a l'épaule droite, protégé par le gilet par-balle. Il se cache derrière sa voiture, tandis que Renato exécute le conducteur. Je remarque alors qu'un dernier agent de l'UPS arrière me braque, puis Sergio l'exécute de deux balles en pleine tête. Voilà maintenant que trente secondes ce sont écoulés, le plan commence a retarder, Renato se met à courir a fière allure vers l'arrière de l'UPS, faisant exploser l'arrière avec une charge explosive. Toute l'équipe se met a prendre l'argent pour accélérer le processus, mais une autre équipe ainsi qu'un hélicoptère de police intervient. On prend le dernier pack d'argent, le déposant alors dans la voiture de moi, Sergio et Scapione. Je décide alors de conduire le véhicule où l'argent est disposé, Frank vient en passager à côté de moi pour se mettre a drive-by, tandis que les quatre autres membres du clan se mettent dans l'autre voiture pour ralentir les autres UPS. Frank braque l'hélicoptère de police, puis tire quelques balles. L'hélicoptère se met en retrait, suite au balles qui peuvent être perdus, puis j'arrive a semer l'équipe de police. L'équipe de Sergio, Scapione, Renato et Vera réussissent aussi a s'enfuire vers San Fierro. On passe en go-fast vers Bayside, les deux véhicules criblés de balles. On dépose Renato dans l'entrepôt d'explosifs, puis je ramène Sergio, Scapione et Vera sur l'entrepôt de Palomino. Frank reste avec moi, et nous nous cachons dans notre appartement, argent qu'on transporte dans la maison. Je remarque alors la balle qu'à pris Frank, puis il enlève son gilet par-balle pour le déposer à côté de lui. Il m'annonce que tout va bien, lui et moi départageons l'argent, et je me mets a téléphoner a Luciano pour lui confirmer que la mission est un succès. 200.000$ pour moi, 200.000$ pour Frank, 300.000$ pour Vera, 200.000$ pour Scapione, 200.000$ pour Sergio, 200.000$ pour Luciano et 200.000$ pour mon père.
Quelques heures après la mission, j'appelle Frank, Vera, Scapione, Sergio, Luciano et mon père a la planque sur Palomino. Ils repartent chacun avec leur butin, et déposent leur armes de guerres chez moi. Je soupire, allant alors sur mon lit, commençant a comprendre que ma vie a réelement changé.
- mkhh__
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Inscrit le : 08/11/2015
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Dim 8 Nov - 22:27
Réservé.
(J'ai demandé a Ahmed de supprimer mon ancien post car la limite de caractères pour un post n'est que de 65.000 caractères, et que je ne voulais pas être irrégulier en postant deux pages après la suite.)
(J'ai demandé a Ahmed de supprimer mon ancien post car la limite de caractères pour un post n'est que de 65.000 caractères, et que je ne voulais pas être irrégulier en postant deux pages après la suite.)
- grizzly
- Messages : 127
Inscrit le : 26/05/2015
Localisation : Essonne (91)
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Lun 9 Nov - 14:36
la flemme de lire mais ça a l'air bien
- la mort
- Messages : 160
Inscrit le : 07/11/2015
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Lun 9 Nov - 15:18
Intéressant, pourquoi pas créer un livre!
- mkhh__
- Messages : 30
Inscrit le : 08/11/2015
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Lun 9 Nov - 20:49
Merci des avis.
Je doute que faire un livre passerait, je reste dans le contexte de GTA et les lignes sont parfois mal écrites, mal imaginés et pour le minimum réaliste. J'arrête le background pendant un moment pour me concentrer sur mon thread Vittore.
Je doute que faire un livre passerait, je reste dans le contexte de GTA et les lignes sont parfois mal écrites, mal imaginés et pour le minimum réaliste. J'arrête le background pendant un moment pour me concentrer sur mon thread Vittore.
- Tumper
- Messages : 13
Inscrit le : 10/11/2015
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Mar 10 Nov - 21:39
C'est peu pour un background.
- Antonio_Fernandes
- Messages : 52
Inscrit le : 08/11/2015
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Mar 10 Nov - 22:15
Je t'invite à y faire bien mieu.Tumper a écrit:C'est peu pour un background.
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Mar 10 Nov - 22:16
Il rigole bien sûrJoe_Kendell a écrit:Je t'invite à y faire bien mieu.Tumper a écrit:C'est peu pour un background.
- Joseph Stackpole
- Messages : 294
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Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Mar 10 Nov - 22:44
Nul en DM mais fort en littérature, félicitation tu as trouver ta voie !
- Tumper
- Messages : 13
Inscrit le : 10/11/2015
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Mar 10 Nov - 23:53
Refermes ton fessier et mêles toi de tes affaires le jeune bandit ayant posté son background c'est mon gars sur donc vas sur le bas côté m'saoule pas.
- Zeer
- Messages : 15
Inscrit le : 08/11/2015
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Mer 11 Nov - 16:09
Eh ben, grave long mais on voit que t'as l'air motivé c'bien j'ai lue vite fait le début. Propre propre.
- Russian boy
- Messages : 118
Inscrit le : 12/11/2015
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Jeu 12 Nov - 9:29
alors, j'peut pas bouger depuis mon accident, pas pour l'moment.
donc voila ce que j'vais t'dire, ce soir j'fout mes écouteurs, le nouvel album à niro, j'me pose et j'me met à lire ton background, et ensuite j'te file mon avis.
donc voila ce que j'vais t'dire, ce soir j'fout mes écouteurs, le nouvel album à niro, j'me pose et j'me met à lire ton background, et ensuite j'te file mon avis.
- nartikzoo
- Messages : 11
Inscrit le : 19/11/2015
Re: C. VITTORE: Ill got, ill spent. - CHAP.2: CAPOREGIME FRANK.
Jeu 19 Nov - 12:16
wsh mikado je t'aime bien mais j'ai pas la force de tout lire, dsl
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